Poésie
Auschwitz est mon manteau et autres chants tsiganes
« Moi Ceija je dis qu'Auschwitz vit et respire aujourd'hui encore en moi je sens aujourd'hui encore la souffrance Chaque brin d'herbe chaque fleur la`-bas est l'a^me d'un mort »
Toujours un mot dans ma poche
Si le fleuve coule c'est qu'il ne sait pas encore nager. Le cheval noir fume mais ce n'est pas la pipe. Sur le parvis, un homme est couché en chien de fusil le long de sa chienne de vie.
De la mort sans exagérer
Quand le prix Nobel fut décerné en 1996, le nom de Wislawa Szymborska n'était pas, c'est le moins que l'on puisse dire, très familier aux lecteurs de poésie, excepté dans sa Pologne natale.
Moi j'irai dans la lune
Poèmes pour enfants et quelques adultes. Morceaux choisis des Innocentines, poésies facétieuses de René de Obaldia, membre de l'Académie française, délicieusement illustrés par Emmanuelle Houdart.